Le 19 septembre 2012, le ministre de l’Intérieur a une nouvelle fois pris ses distances avec la volonté du Président de la République et du Premier ministre de lutter contre les contrôles d’identité "au faciès".
Une réforme en profondeur est pourtant nécessaire, urgente et réaliste.
Vous trouverez ci-joint le communiqué signé par huit organisations, dont le Syndicat de la magistrature, pour réagir à ces déclarations.